Séance d’humiliation – Miss Lilith
Chute et Soumission
Il entre, cœur battant, prêt à plonger dans l’abîme de sa propre humiliation.
Sous mes yeux, il ne sera plus maître de son image. Il est là pour être brisé, rabroué, rabaissé — mais toujours dans le respect de son engagement et de ses limites.
Il a réglé son offrande, pour ce moment où je prends son orgueil en otage.
Le jeu du pouvoir inversé
Je commence par poser mes mots, tranchants et précis.
Je l’appelle par des noms choisis, des sobriquets qui le déroutent, l’effacent.
Chaque phrase est un coup, chaque regard un défi.
Puis, sans avertissement, un crachat coule lentement sur son visage, glissant sur sa peau, marquant sa soumission.
La chaleur de mon pouvoir s’incarne aussi dans la violence contrôlée de quelques coups portés avec mesure, qui font vibrer son corps et son esprit.
Il sent sa dignité vaciller, mais aussi sa confiance profonde dans notre lien.
Il baisse les yeux, rougit, parfois même tremble — c’est la libération dans la reddition.
Je le tiens là, fragile et vulnérable, dans ce théâtre où la honte devient plaisir.
Rituels et épreuves
Je le place à genoux, le force à accomplir des tâches humiliantes : réciter ses défauts, supplier, accepter la contrainte.
Parfois, c’est la posture, parfois la parole, souvent les deux.
Mais il sait que tout est consentement, et que sa confiance est mon trésor.
Réconciliation et renouveau
Quand la séance touche à sa fin, je laisse les derniers mots doux venir panser ses plaies invisibles.
Il repart plus léger, vidé de son orgueil, mais rempli d’un respect nouveau.
Chaque seconde d’humiliation est une offrande précieuse.
Je suis Miss Lilith. Le pouvoir passe par la chute, et la soumission se vit dans l’abandon.
